Que tu fasses du sport le dimanche ou que tu sois fan de compétitions, tu dois le savoir :
le sport va bien au-delà des exploits physiques !
Depuis longtemps, le sport est un porte-voix pour les populations opprimées et un puissant levier pour faire évoluer les mentalités. Mais aujourd’hui encore, des voix s’élèvent pour le rendre plus inclusif et plus respectueux de la planète.
activité physique !
Le sport,
bien plus qu’une
bien plus qu’une
Le sport,
activité physique !
Que tu fasses du sport le dimanche ou que tu sois fan de compétitions, tu dois le savoir : le sport va bien au-delà des exploits physiques !
Depuis longtemps, le sport est un porte-voix pour les populations opprimées et un puissant levier pour faire évoluer les mentalités. Mais aujourd’hui encore, des voix s’élèvent pour le rendre plus inclusif et plus respectueux de la planète.
Avec plus de 4 milliards de téléspectateur·rices, les Jeux olympiques de 2008 à Pékin ont été l’événement sportif le plus suivi au monde, surpassant la Coupe du monde de foot et le Superbowl.
Une audience planétaire qui en fait un événement éminemment politique.
Mais les grandes compétitions sportives sont aussi et surtout des moments de communion populaire qui rassemblent des femmes et des hommes du monde entier. Une puissante force fédératrice parfois mise au service de la paix entre les Nations.
« Le sport a le pouvoir de changer le monde. Il a le pouvoir d’inspirer. Il a le pouvoir d’unir les gens de manière unique. »
Nelson Mandela
Avec plus de 4 milliards de téléspectateur·rices, les Jeux olympiques de 2008 à Pékin ont été l’événement sportif le plus suivi au monde, surpassant la Coupe du monde de foot et le Superbowl.
Une audience planétaire qui en fait un événement éminemment politique.
Mais les grandes compétitions sportives sont aussi et surtout des moments de communion populaire qui rassemblent des femmes et des hommes du monde entier. Une puissante force fédératrice parfois mise au service de la paix entre les Nations.
« Le sport a le pouvoir de changer le monde. Il a le pouvoir d’inspirer. Il a le pouvoir d’unir les gens de manière unique. »
Nelson Mandela
Ce n’est pas tant le sport qui va éduquer, que l’éducateur.
David Blough, expert sport et impact social
Le sport n’inspire pas que les artistes. Il transmet aux plus jeunes des valeurs positives comme le respect de l’autre et la confiance en soi. De nombreuses institutions l’utilisent pour enseigner des principes essentiels en matière d’hygiène ou de respect de l’environnement.
Alors le sport, plus que des médailles, une école de la vie ? Oui, mais attention au sportwashing ! Encore faut-il des moyens humains et matériels et des intentions éducatives sincères pour qu’un club ait un véritable impact sur la vie des jeunes qui s’entraînent.
On peut penser au film Million Dollar Baby, récit de vie de Maggie Fitzgerald, une boxeuse amatrice qui parvient à se hisser au plus haut niveau, à force de résilience et de courage.
Ces valeurs de persévérance et de dépassement de soi font du sport un véritable objet de fascination et une source d’inspiration. Surtout pour les artistes !
« Plus vite, plus haut, plus fort »
La devise des JO incarne parfaitement la quête d’excellence véhiculée par le sport. Bon d’accord, c’est un peu la course à la performance. Mais il y a tellement plus à en tirer !
Le sport nous apprend aussi à travailler en équipe, à respecter notre adversaire et à persévérer malgré les obstacles.
David Blough, expert sport et impact social
Ce n’est pas tant le sport qui va éduquer, que l’éducateur.
Le sport n’inspire pas que les artistes. Il transmet aux plus jeunes des valeurs positives comme le respect de l’autre et la confiance en soi. De nombreuses institutions l’utilisent pour enseigner des principes essentiels en matière d’hygiène ou de respect de l’environnement.
Alors le sport, plus que des médailles, une école de la vie ? Oui, mais attention au sportwashing ! Encore faut-il des moyens humains et matériels et des intentions éducatives sincères pour qu’un club ait un véritable impact sur la vie des jeunes qui s’entraînent.
On peut penser au film Million Dollar Baby, récit de vie de Maggie Fitzgerald, une boxeuse amatrice qui parvient à se hisser au plus haut niveau, à force de résilience et de courage.
Ces valeurs de persévérance et de dépassement de soi font du sport un véritable objet de fascination et une source d’inspiration. Surtout pour les artistes !
La devise des JO incarne parfaitement la quête d’excellence véhiculée par le sport. Bon d’accord, c’est un peu la course à la performance. Mais il y a tellement plus à en tirer !
Le sport nous apprend aussi à travailler en équipe, à respecter notre adversaire et à persévérer malgré les obstacles.
« Plus vite, plus haut, plus fort »
Quand la volonté politique est là, le sport peut devenir
un formidable levier de développement.
États, ONG et associations s’en servent pour renforcer l’inclusion des populations marginalisées et souvent éloignées de la pratique sportive en raison de discriminations : les minorités ethniques, les femmes, les personnes en situation de handicap…
L’inclusion par le sport, c’est aussi à travers des figures emblématiques dont les prouesses sportives contribuent à briser les stéréotypes et à changer les mentalités.
C’est précisément le rôle des Jeux paralympiques : mettre en lumière des sportives et sportifs qui font de leur handicap une force.
Se lancer dans le sport quand on est en situation de handicap, c’est souvent un véritable parcours d’obstacles.
Au-delà des performances sportives, l'engagement se fait aussi en dehors du terrain.
Du poing levé de Tommie Smith contre la ségrégation raciale pendant les JO de 1968 au genou à terre de Megan Rapinoe en soutien au mouvement « Black Lives Matter », les athlètes n’hésitent pas à prendre position pour porter des causes essentielles comme la lutte contre le racisme ou l’égalité entre les femmes et les hommes.
Quand la volonté politique est là, le sport peut devenir
un formidable levier de développement.
États, ONG et associations s’en servent pour renforcer l’inclusion des populations marginalisées et souvent éloignées de la pratique sportive en raison de discriminations : les minorités ethniques, les femmes, les personnes en situation de handicap…
C’est précisément le rôle des Jeux paralympiques : mettre en lumière des sportives et sportifs qui font de leur handicap une force.
L’inclusion par le sport, c’est aussi à travers des figures emblématiques dont les prouesses sportives contribuent à briser les stéréotypes et à changer les mentalités.
Se lancer dans le sport quand on est en situation de handicap, c’est souvent un véritable parcours d’obstacles.
Au-delà des performances sportives, l'engagement se fait aussi en dehors du terrain.
Du poing levé de Tommie Smith contre la ségrégation raciale pendant les JO de 1968 au genou à terre de Megan Rapinoe en soutien au mouvement « Black Lives Matter », les athlètes n’hésitent pas à prendre position pour porter des causes essentielles comme la lutte contre le racisme ou l’égalité entre les femmes et les hommes.
Comment le sport s'est construit sur l'exclusion des femmes.
13 %, c’est plus une marge de progression, c’est un saut qu’il faut faire.
29 %, c’est déjà ça.
48 %, égalité presque parfaite, ça fait du bien !
Selon toi, quelle était la proportion de coachs femmes aux JO de Tokyo ?
Je me teste
Mais pour qui connaît l’histoire du sport, ces inégalités n’ont rien d’étonnant.
Pour Pierre de Coubertin, inventeur des Jeux olympiques modernes, le héros olympique est « l’adulte mâle ». Lors de la première édition, en 1896, les femmes se contentent de couronner les vainqueurs. Heureusement, les temps changent… Même s’il reste encore du boulot.
Les conséquences sont très concrètes sur les salaires des sportives professionnelles, la visibilité des compétitions féminines ou la parité dans les instances comme les fédérations.
Et d’égalité, le sport en a cruellement besoin. Les stéréotypes de genre continuent de gangréner les activités physiques, trop souvent perçues comme la chasse gardée des hommes.
Comment le sport s'est construit sur l'exclusion des femmes.
Mais pour qui connaît l’histoire du sport, ces inégalités n’ont rien d’étonnant.
Pour Pierre de Coubertin, inventeur des Jeux olympiques modernes, le héros olympique est « l’adulte mâle ». Lors de la première édition, en 1896, les femmes se contentent de couronner les vainqueurs. Heureusement, les temps changent… Même s’il reste encore du boulot.
13 %, c’est plus une marge de progression, c’est un saut qu’il faut faire.
29 %, c’est déjà ça.
48 %, égalité presque parfaite, ça fait du bien !
Selon toi, quelle était la proportion de coachs femmes aux JO de Tokyo ?
Je me teste
Les conséquences sont très concrètes sur les salaires des sportives professionnelles, la visibilité des compétitions féminines ou la parité dans les instances comme les fédérations.
Et d’égalité, le sport en a cruellement besoin. Les stéréotypes de genre continuent de gangréner les activités physiques, trop souvent perçues comme la chasse gardée des hommes.
Pourtant, ce ne sont pas les solutions qui manquent : encourager les équipements et les pratiques sportives durables, prioriser les compétitions locales, réduire le nombre de spectateur·rice·s, ne pas organiser d’évènement d’ampleur au Qatar ou en Arabie Saoudite…
3,6 millions, de quoi faire 2 millions de vols Paris-New York !
1,2 million, autant que les émissions annuelles de 135 000 foyers français.
500 000, un petit impact pour un grand évènement.
Quelle a été l’empreinte carbone des JO de Rio 2016 (en tonnes équivalent CO₂) ?
Je me teste
Maël Besson, expert en transition écologique du sport
Chaque sportif et spectateur doit se demander comment modifier ses habitudes et ses comportements pour les rendre compatibles avec les enjeux climatiques.
Il n’y a pas que sur les inégalités de genre que le sport doit évoluer. Le sport, c’est du textile, des équipements, des transports, des compétitions massives… et donc, une empreinte carbone considérable.
Il n’y a pas que sur les inégalités de genre que le sport doit évoluer. Le sport, c’est du textile, des équipements, des transports, des compétitions massives… et donc, une empreinte carbone considérable.
3,6 millions, de quoi faire 2 millions de vols Paris-New York !
1,2 million, autant que les émissions annuelles de 135 000 foyers français.
500 000, un petit impact pour un grand évènement.
Quelle a été l’empreinte carbone des JO de Rio 2016 (en tonnes équivalent CO₂) ?
Je me teste
Pourtant, ce ne sont pas les solutions qui manquent : encourager les équipements et les pratiques sportives durables, prioriser les compétitions locales, réduire le nombre de spectateur·rice·s, ne pas organiser d’évènement d’ampleur au Qatar ou en Arabie Saoudite…
Maël Besson, expert en transition écologique du sport
Chaque sportif et spectateur doit se demander comment modifier ses habitudes et ses comportements pour les rendre compatibles avec les enjeux climatiques.
Qu’on soit sportif·ve ou simple spectateur·rice,
on a tous·tes un rôle à jouer.
Certain·es ont tilté, et toi, ce sera quoi ton déclic ?
Pour transformer le monde, le sport est un formidable outil.
Il peut inspirer, unir, et changer les mentalités. Mais pour continuer à jouer ce rôle, il doit évoluer : être plus respectueux du climat et plus inclusif pour les femmes comme pour toutes les minorités.
Pour transformer le monde, le sport est un formidable outil.
Il peut inspirer, unir, et changer les mentalités. Mais pour continuer à jouer ce rôle, il doit évoluer : être plus respectueux du climat et plus inclusif pour les femmes comme pour toutes les minorités.
Qu’on soit sportif·ve
ou simple spectateur·rice,
on a tous·tes un rôle à jouer.
Certain·es ont tilté, et toi, ce sera quoi ton déclic ?